A propos du projet
Partout dans le monde, l’Organisation Mondiale de la Santé a constaté que de nombreuses femmes font l’expérience de traitements non respectueux et de mauvais traitements lors de leur accouchement. Ceci constitue non seulement une violation de leurs droits humains à avoir des soins fondés sur le respect, mais aussi une atteinte aux droits à la vie, à la santé, à l’intégrité physique et à l’absence de discrimination.
Lorsqu’elles décident de briser le silence, les femmes victimes de violence obstétricale se heurtent au déni, au soupçon, à la stigmatisation, au rejet.
Alors que les campagnes d’information sur les violences faites aux femmes sont connues du grand public, la violence dans le domaine de la naissance en France reste taboue, et de fait, non évaluée.
En 2015, une enquête sous forme de questionnaire d’évaluation des violences obstétricales en France a été lancée par l’Observatoire de La Violence Obstétricale - France. Plus de 2000 femmes y ont répondu, les témoignages sont édifiants.
Au mois de novembre 2016 à Pau, les résultats de cette enquête seront présentés lors du Congrès International, « Droits Humains et Femmes Enceintes : Levons le Tabou de la Violence Obstétricale », organisé autour de la journée internationale du 25 novembre dédiée à la lutte contre les violences faites aux femmes.
Les représentantes des Observatoires de La Violence Obstétricale d’Argentine, du Chili, d’Espagne et d’Italie viendront y témoigner de la situation dans leurs pays et l’association internationale Human Rights in Childbirth abordera l’aspect juridique. Les jurisprudences de la Cour Européenne des Droits de l’Homme ainsi qu’un guide pratique sur les Droits Humains pour les sages-femmes seront aussi présentés par des avocates expérimentées.
Lorsqu’elles décident de briser le silence, les femmes victimes de violence obstétricale se heurtent au déni, au soupçon, à la stigmatisation, au rejet.
Alors que les campagnes d’information sur les violences faites aux femmes sont connues du grand public, la violence dans le domaine de la naissance en France reste taboue, et de fait, non évaluée.
En 2015, une enquête sous forme de questionnaire d’évaluation des violences obstétricales en France a été lancée par l’Observatoire de La Violence Obstétricale - France. Plus de 2000 femmes y ont répondu, les témoignages sont édifiants.
Au mois de novembre 2016 à Pau, les résultats de cette enquête seront présentés lors du Congrès International, « Droits Humains et Femmes Enceintes : Levons le Tabou de la Violence Obstétricale », organisé autour de la journée internationale du 25 novembre dédiée à la lutte contre les violences faites aux femmes.
Les représentantes des Observatoires de La Violence Obstétricale d’Argentine, du Chili, d’Espagne et d’Italie viendront y témoigner de la situation dans leurs pays et l’association internationale Human Rights in Childbirth abordera l’aspect juridique. Les jurisprudences de la Cour Européenne des Droits de l’Homme ainsi qu’un guide pratique sur les Droits Humains pour les sages-femmes seront aussi présentés par des avocates expérimentées.
Les objectifs du projet- Donner la parole aux femmes victimes de Violence Obstétricale.
- Présenter la violence obstétricale aux françaises : la définir et présenter ses effets négatifs à court terme et à long terme. - Obtenir le soutien de la communauté internationale, lors de l’annonce des résultats de l’enquête sur les Violences Obstétricales en France. - Commencer à réunir les personnes compétentes pour rédiger une loi ou changer la législation. - Proposer des axes pour le changement. - Sensibiliser la classe politique à ce constat. |
Le financement- Payer les frais de transport des invités venus de plusieurs pays d’Amérique et d’Europe et les héberger.
- Louer la salle pour les conférences et les équipements pour les traductions. - Lancer la communication (affiches, flyers, site internet). Soutenez-nous! Faîtes un DON |
Les porteurs de projetLes associations Coeur de Famille Pau, Coeur de Famille Pays Basque, le SIVO (Stop à l’Impunité de la Violence Obstétricale) organisent cet événement en lien avec le Réseau International des Observatoires InterOVO et Human Rights in Childbirth.
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